C’est pas nous, c’est pas nous !
Difficile de s’avouer qu’on est vieux, c’est humain, mais même si la tête nous dit l’inverse, on peut être victime de nos habitudes et nos habitudes en disent long sur nous et notre âge. J’ai listé une suite de trucs de « vieux », enfin, que j’estime être des réflexes de personnes ayant un certain âge, voire un âge certain. Alors flippez votre race, car vous allez très certainement en trouver un ou deux que vous faites systématiquement, voire quotidiennement. Désolé par avance…
Oh, ça c’est bien un truc de vieux :
il est le premier devant les portes du Supermarché
il prépare son p’tit déjeuner la veille
il scrolle des heures avant de retrouver sa date de naissance
il a des pantoufles fourrées
il a sa place attitrée à table
il s’endort toujours devant le film du soir
il a une messagerie Yahoo ou pire, aol
il ne fait aucune faute d’orthographe
il joue au Casino
il offre des enveloppes de billets de loterie à Noël
il rit tout seul de ses blagues et jeux de mots
il sera toujours en avance, mais… vraiment en avance
il n’a pas le sans-contact sur sa CB, trop méfiant
Il parle franglais
…et tant d’autres signaux pour les autres qui font de nous des vieux, alors qu’on ne s’en rend pas compte, forcément.
Pour lutter contre ce vieux qui naît en nous et à qui on ne souhaite pas encore donner la parole, seule issue possible : se comporter comme un jeune, nager à contre-courant, même si c’est contre-nature et contre le vent. Il ne faut cependant pas que ce soit à contrecœur, car on serait vite démasqué et pris pour un imposteur. Rien de pire qu’un vieux qui tente de paraître jeune et qui affiche maladroitement des signes indiscutables de vieillerie avancée. Ce ne serait pas perçu comme du vintage, mais du vieillot ou du has been et là, ça craint. Être à l’aise dans son époque, ce n’est pas simuler ou esquisser, mais jouer pour de vrai. On n’écoute pas Nostalgie dans une Golf GTI ! Soit on roule en Kangoo, soit on écoute NRJ. Quand je disais dans ma préface qu’il faudra faire un choix, être un vieux-jeune ou un jeune-vieux, on en est là.
Il nous faut assumer notre âge, nos cheveux gris ou nos couleurs pour vous mesdames et tout ce qui va avec. Dans le même temps, il nous faut penser comme un jeune, agir comme un jeune et vivre comme un jeune. Mais quel jeune ? Celui d’aujourd’hui ? Non, impossible, on se rendrait ridicule. En revanche, pourquoi pas celui ou celle que nous étions avant, remis au goût du jour bien sûr.
L’important est de rester soi-même sans jouer de rôle et de se sentir à l’aise. Si séduisant que cela puisse être, ce n’est pas forcément aussi facile à mettre en pratique, car tout simplement, notre corps peut ne pas être d’accord avec tout. À nous d’adopter le mouvement lent qui nous convient et de vivre notre temps un peu comme avant, tout en cohabitant courtoisement avec le corps qui nous accompagne. Ne jouons pas aux faux-jeunes, ce n’est pas nous. Soyons d’authentiques très jeunes-vieux avec nos vieux os, mais nos mêmes yeux, quand bien même on redouble désormais d’attention, bien cachés derrière nos verres, regardant la vie à travers eux.
S’éloigner de l’autre pour aller au plus profond de lui…
Je ne parle pas de la vue et de la presbytie, mais du recul que l’on sait désormais prendre pour analyser des situations complexes et explorer le cœur du problème ou celui des gens. Nos expériences nous ont reconvertis en véritables coachs de vie personnelle. Certains se mettent à leur compte sur le tard et en font leur énième profession et d’autres, comme moi, nous contentons d’éclairer nos proches ou des connaissances plus lointaines pour les aider à franchir des caps difficiles : crise de couple, crise existentielle, inquiétudes professionnelles, remise en question du rôle de bon parent, etc.
Nos congénères (d’autres Quinquas), nos aînés parfois, car quand un drame nous frappe, on peut aussi perdre notre clairvoyance légendaire, mais surtout les plus jeunes viennent naturellement vers nous, toujours là pour remonter le moral des troupes et donner une autre vision des choses avec bienveillance, respect et de façon diplomate. C’est en prenant de la hauteur que l’on perce les mystères les plus profonds, les failles secrètes et que se dévoilent les esprits torturés. Une plaie ouverte n’attend qu’une bonne écoute et de bons conseils pour cicatriser lentement.
Nous nous transformons en pansement de l’âme, des réchauffe-cœurs et des recharges de conscience. Notre empathie s’est munie d’une armure au fil du temps et a fait de nous des personnes aptes à ressentir, à comprendre et à aider les autres sans tomber dans le mélodrame pitoyable ou la compassion froide comme le marbre. Nous avons les mots, les bons, toujours justes et modérés. Nous voir et nous entendre est déjà l’assurance de repartir mieux qu’à l’arrivée. Ce don, nous le devons simplement au temps qui nous a écorchés, mais épargnés aussi, en attendant que l’on cicatrise et que l’on en tire des enseignements.
Parmi les stratégies défensives les plus réputées pour surmonter un accident de la vie, telle est l’expression pour parler de drames générationnels, citons le sport, la lecture, l’écriture, la musique et le Morgon. Non, je plaisante bien sûr, c’est l’intrus. L’alcool est loin d’être une solution, c’est même notre pire ennemi dans les pires moments : une vraie désillusion. Il rendra vos nuits sombres et angoissantes en réveillant vos vieux démons et en faisant de vos journées les plus tristes heures de toute votre vie. Tout le reste est à consommer sans modération.
Vous noterez que ma liste est particulièrement axée sur les arts, car ils ouvrent des champs inexplorés, stimulant l’expression de nos sentiments les plus enfouis. Ils nous permettent de libérer nos émotions en les exprimant de façon plus ludique ou au contraire, plus concrète. L’homme a cette étrange et dangereuse capacité à transformer une goutte d’eau en océan. Quand c’est en faveur d’une pensée positive, rien à redire. Quand cela fait le jeu de pensées douloureuses et toxiques, c’est plus dramatique. On appelle cela l’art de relativiser, ou encore une fois, prendre du recul. Notre point fort aujourd’hui se révèle être adepte et expert d’une sorte de Slow thérapie…
La solitude, ma pire amie !
Personnellement, tant que mon écran et mon clavier resteront devant moi, je ne me sentirai jamais totalement seul. Je fais néanmoins le vœu d’être longtemps accompagné au cours de cette seconde vie de seconde main dans laquelle je viens de mettre un doigt de pied. J’arpente timidement ce nouveau couloir un peu plus étroit que le précédent sans poser le talon au sol, toujours prêt à bondir. Je ne suis pas dans un tunnel et aucune lumière blanche ne m’apparaît au loin, pour cela, j’ai encore largement le temps. Je suis seulement face à ce Quinqua que je suis devenu, aussi indépendant et autonome que parfois perdu.
La solitude est un état que nous avons tous déjà connu et qui peut même se vivre en couple (ce qui est encore plus dramatique évidemment). Ces sentiments d’abandon ou de vide, on les connait bien pour les avoir déjà tutoyés de près, alors qu’on se serait bien contentés de les vouvoyer de loin. Bien que pénibles à vivre quand on ne les recherche pas volontairement, ils sont comme une purge de l’âme, au même titre qu’un jeûne est une purge du corps. Cette expérience individuelle peut s’entrevoir comme un mal nécessaire ou un parcours initiatique voué à nous alléger d’émotions négatives et à nous emmener, de force, à une introspection salvatrice. Cette diète spirituelle et émotionnelle peut effectivement devenir notre pire amie, profondément bénéfique aussi étrange que cela puisse paraître…
Finissons par le meilleur !
Enfant des années 80, né en 70, je suis inscrit sur des Groupes Facebook dédiés aux grands nostalgiques de ces belles années. Cela dit, quel enfant ou ado de cette décennie n’userait pas de sa baguette magique, s’il en avait une, pour y refaire un saut ? Du coup, quand je demande aux Quinquas d’aujourd’hui quelles ont été leurs plus belles années, beaucoup me répondent sans hésiter : les années 80 !
Mais au-delà de notre univers d’enfant, plutôt enviable, d’autres réalités devaient être assumées par nos parents qui forcément ne vivaient pas les mêmes choses, convaincus par exemple que Goldorak ne pourrait jamais les sauver en cas d’attaques extraterrestres (Pffff, les naïfs). Alors ne serions-nous pas tous influencés et aveuglés par la qualité de vie que nous avions plus jeune pour glorifier avec autant de nostalgie et d’idéalisme cette période d’insouciance qui ne devait pas l’être pour les adultes de la même époque ? Petit, petits problèmes, grand, grands problèmes.
Ceci étant, je tenais malgré tout à clore ce livre sur nos souvenirs de jeunesse, car ce sont eux qui ont en grande partie forgé les adultes que nous sommes devenus. Si notre vie d’après, nous a bien plus chahutés, une petite part de nous préserve les doux rêveurs que nous étions jadis en culotte courte. Quel que soit notre année de naissance, notre vie d’adulte n’a fait que s’articuler et grandir autour de notre vie d’enfant, s’adaptant à un moule déjà formé, comme un gant se contente d’habiller une main. Nos gants s’usent désormais un peu, laissant des trous par-ci par-là, les cicatrices du temps, mais nos mains restent fermes, fortes et habiles. Nous pouvons continuer d’avancer sereins, les mains ouvertes sur encore deux ou trois très belles décennies à venir, espérons-le, et les poings fermés les jours où l’on aura besoin de se protéger.
À 50 ans, j’ai connu comme tout le monde des joies, des peines, des regrets et de la fierté, ainsi que la solitude (même accompagné, durant une période sombre). Je suis à présent réparé, bien avec moi et j’ai même l’immense privilège d’avoir passé un moment avec vous. Merci de m’avoir accompagné tout au long de cette analyse intime qui n’est que l’expression de ma propre vision, étayée parfois de quelques sondages qui ont alimenté mon inspiration et surtout conforté mes propos.
J’espère que vous vous serez un peu retrouvés dans ce partage de ressentis présenté, je l’espère, de façon ni trop euphorique et édulcorée ni dramatique, simplement honnête avec moi et avec vous. Ce n’est finalement pas si douloureux que cela, dirais-je désormais aux vieux quarantenaires pour les rassurer avant le grand saut. Pour les autres, je suis comme vous, prêt à savourer la vie de mes 50 ans et demi lentement, le plus lentement possible d’ailleurs, pour m’en faire mon amie…
2020 n’aura pas été que l’année de la cinquantaine pour nous, mais aussi de la quarantaine, comme quoi l’humour peut être aussi un pansement sur la réalité… Prenez soin de votre santé physique et mentale, de votre silhouette et de votre estime de vous. Surtout, restez un jeune-vieux plutôt que de jouer au faux-jeune. Ne vous posez pas trop de questions et profitez pleinement de chaque étape de votre seconde vie en essayant de vous rapprocher toujours plus des seuls objectifs qui comptent vraiment dans ce monde de fou : le Bonheur, vos proches et vous !
Sortez vos mouchoirs : séquence nostalgie !
Avoir 50 ans en 2020 ou être né entre 45 et 55 ans, c’est avoir connu quelques souvenirs inoubliables avec des films, des dessins animés et des musiques cultes ou encore des modes vestimentaires et des Looks à tomber par terre. Des événements tragiques, technologiques ou de sociétés nous ont évidemment marqués au fer rouge. Voici des listes non-exhaustives que vous saurez compléter, j’en suis sûr, si vous êtes, plus ou moins, de la génération 80. Pour les plus jeunes, je vous laisse avec vos meilleurs souvenirs des années 2000…
Musiques
On les chante encore par cœur et on démarre sur les chapeaux de roue dès les premières notes. Elles ont bercé notre jeunesse et notre adolescence et le plus étonnant, c’est que chaque musique nous fait voyager dans le temps. Les paroles étaient légères, les sujets bon enfant. Ces musiques étaient chantantes et dansantes. Difficile d’en écouter une sans remuer son popotin ou se retenir de jouer du talon quand on est assis…
Macumba, Jean-Pierre Mader, 1985
L’Aventurier, Indochine, 1982
Girls Just Want to Have Fun, Cyndi Lauper, 1983
Nuit de Folie, Début de soirée, 1989
The Final Countdown, Europe, 1986
Africa, Rose Laurens, 1983
Radio Ga Ga, Queen, 1984
Wake Me Up Before You Go-Go, Wham!, 1984
Quand la musique est bonne, Jean-Jacques Goldman, 1982
Marcia Baïla, Les Rita Mitsouko, 1984
Confidence pour confidence, Jean Schultheis, 1981
Take On Me, a-ha, 1985
Total Eclipse of the Heart, Bonnie Tyler, 1983
Cambodia, Kim Wilde, 1982
Billie Jean, Michael Jackson, 1982
Il jouait du piano debout, France Gall, 1980
Enola Gay, Orchestral Manoeuvres in the Dark, 1980
Flashdance…what a Feeling, Irene Cara, 1983
Le Banana Split, Lio, 1980
Another One Bites the Dust, Queen, 1980
Bette Davies Eyes, Kim Carnes, 1981
Voyage, voyage, Desireless, 1989
Beat It, Michael Jackson, 1982
Joe le taxi, Vanessa Paradis, 1988
I Wanna Dance With Somebody, Whitney Houston, 1987
Eye of the Tiger, Survivor, 1982
Rockollection, Laurent Voulzy, 1989
Yaka dansé, Raft, 1988
Der Kommissar, Falco, 1982
Besoin de rien, envie de toi, Peter et Sloane, 1985
Vertige de l’amour, Alain Bashung, 1981
En rouge et noir, Jeanne Mas, 1986
Toute première fois, Jeanne Mas, 1985
Video Killed the Radio Star, The Buggles, 1980
Don’t You (Forget About Me), Simple Minds, 1985
Chacun fait (c’qui lui plaît), Chagrin d’amour, 1982
La Machine à danser, La Compagnie créole, 1987
Les Lacs du Connemara, Michel Sardou, 1981
La vie la nuit, Début de soirée, 1989
Fade to Grey, Visage, 1980
Je ne suis pas un héros, Daniel Balavoine, 1980
Les brunes comptent pas pour des prunes, Lio, 1986
Just Can’t Get Enough, Depeche Mode, 1981
I Love Rock N’ Roll, Joan Jett & The Blackhearts, 1981
Kids in America, Kim Wilde, 1981
Careless Whisper, George Michael, 1984
Need You Tonight, INXS, 1987
Les Divas du dancing, Philippe Cataldo, 1986
I Want to Break Free, Queen, 1984
Antisocial, Trust, 1980
Sweet Dreams (Are Made of This), Eurythmics, 1983
Films
Ils nous ont fait rire, frémir, pleurer et rêver. Certains n’ont pas bougé d’un iota, tandis que d’autres ont mal vieilli, peut-être comme certains d’entre-nous finalement… De grands acteurs nous ont accompagnés, dont la plupart se sont évaporés. Même si les effets spéciaux d’aujourd’hui sont d’un niveau bien supérieur, la magie opère encore pour certains d’entre-eux…
Big, avec Tom Hanks, 1988
Cocktail, avec Tom Cruise, 1988
Full Metal Jacket, avec Matthew Modine, 1987
Scarface, avec Al Pacino, Michelle Pfeiffer, 1983
Shining, avec Jack Nicholson, 1980
Le Grand Bleu, avec Jean-Marc Barr, Jean Reno, 1988
Elephant Man, avec Anthony Hopkins, John Hurt, 1980
Commando, avec Arnold Schwarzenegger, 1985
L’Ours, avec Tchéky Karyo, Jack Wallace, 1988
Top Gun, avec Tom Cruise, Kelly McGillis et Val Kilmer, 1986
Octopussy, avec Roger Moore, Maud Adams, Louis Jourdan, 1983
E.T. L’extra-terrestre, avec Henry Thomas, 1982
Balade Runner, avec Harrison Ford, 1982
Grimlins, avec Zach Galligan, Phoebe Cates, 1984
SOS Fantôme (Ghostbusters), avec Bill Murray, Dan Aykroyd, 1984
Retour vers le Futur, avec Michael J. Fox, Christopher Lloyd, 1985
Christine, avec Keith Gordon, John Stockwell, 1983
Il était une fois en Amérique, avec Robert De Niro, James Woods, 1984
Mission, avec Robert De Niro, Jeremy Irons, 1986
Out of Africa, avec Meryl Streep, Robert Redford, 1985
Liaison fatale, avec Michael Douglas, Glenn Close, 1987
Rocky III : L’Œil du tigre, avec Sylvester Stallone, Talia Shire, 1982
Le Cercle des poètes disparus, avec Robin Williams, 1989
Good Morning, Vietnam, avec Robin Williams, 1987
La Couleur pourpre, avec Whoopi Goldberg, 1985
Dune, avec Kyle MacLachlan, Jürgen Prochnow, 1984
Allô maman, ici bébé, avec Kirstie Alley, John Travolta, 1989
Wall Street, avec Michael Douglas, Martin Sheen, 1987
Rocky IV, avec Sylvester Stallone, Talia Shire, 1985
Predator, avec Arnold Schwarzenegger, 1987
Rien que pour vos yeux, avec Roger Moore, Carole Bouquet, 1981
Karaté Kid, avec Ralph Macchio, Pat Morita, 1984
L’Histoire sans fin, avec Barret Oliver, Noah Hathaway, 1984
Tango et Cash, avec Sylvester Stallone, Kurt Russell, 1989
Série TV
Nous étions déjà accros aux séries bien avant NetFlix. Les gentils étaient de vrais gentils et les méchants, on avait juste envie qu’ils prennent une sérieuse déculottée. Cela restait encore une fois gentillé au vu de ce que l’on voit aujourd’hui. Si la gentillesse d’avant n’a guère changé, la méchanceté et la malveillance me semblent avoir pris de l’avance depuis nos belles années… Je retiens de ces séries des morales qui arrivaient irrémédiablement à la fin.
L’homme qui valait 3 milliards
L’homme qui tombe à pic
Mac Gyver
Pour l’amour du risque
Agence tous risques
Magnum
V
K2000
Mariés, deux enfants
21 Jump Street
Alf
Objectif nul
Manimal
Mission impossible
Starsky and Hutch
Columbo
La Minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
La Cinquième dimension
Shogun
Mission Casse-Cou
Ça c’est Palace !
Le Magicien
Cosmos 1999
Chips
Mike Hammer
Alerte à Malibu
Roseanne
Dallas
Madame est servie
Maguy
Marc et Sophie
Récré A2
Supercopter
Temps x
Dynastie
Chérif fais-moi peur
L’incroyable Hulk
L’homme de l’Atlantide
Les jeux de 20h
Dessins animés
Ah, nos Super Héros, les plus forts de toute la galaxie et aucun ne leur arrive à la cheville encore aujourd’hui. Ils n’ont pas pris une ride je crois, mais je dis peut-être cela parce que s’ils en avaient pris, j’en aurais pris aussi… Mes préférés : Goldorak, Tom Sawyer et Albator. Et vous ?
Les mystérieuses Cités d’Or
Princesse Sarah
Speedy gonzales
Fraggle Rock
Bioman
Téléchat
X-or
Il était une fois… la Vie
Rémi Sans Famille
Albator
Goldorak
Tom Sawyer
Belle et Sébastien
Bouba
Les Bisounours
Candy
Capitaine Flam
Les Entrechats
Inspecteur Gadget
Olive et Tom
Les Chevaliers du Zodiaque
Les Maîtres de l’univers
Ulysse 31
Cobra
Cat’s Eyes
Mode
Ça claquait, ça crachait, ça piquait même les yeux parfois et la notion d’harmonie se conjuguait plutôt en anarchie, mais c’était les années 80 et toute leur démesure. La mode d’aujourd’hui fait en renaître certaines qui deviennent soit branchées, soit vintage, comme quoi, nous n’avions pas que des créations de beatnik illuminés 🙂
Les vestes kway
Les pantalons en toile de parachute
Les pantalons en velour
Les Pattes d’éléphant, pattes def
Les pantalons stretch style « fuseau »
Les jean délavés ou jean de couleur
Les sandalettes en plastique
Les Converse
Les DR. Martens
Les Adidas Americana
Les Stan Smith
Les Bandanas
Les sous-pulls
Les chemises avec des logos énormes + les smileys
Les mini-jupes
Les jambières
Les épaulettes
Le total look sportif avec jogging
Look Rock et Punk
Le Fluo
La coiffure « mulet » ultra 80’s
La queue de cheval latérale
Les mitaines
Les grandes boucles d’oreilles
Evénements inoubliables
Génération de transition, nous avons connu la genèse de l’informatique et des jeux vidéo. L’histoire et les inventions ne manquaient pas de piment non plus avec leur lot de bonnes surprises et de drames, comme dans chaque période de la vie…
Présentation de Coluche à la Présidentielle, 1981
Création des Restos du cœur, 1985
Mort de John Lennon, 1980
Accident nucléaire de Tchernobyl, 1986
Le sacre de Yannick Noah à Roland Garros, 1983
Découverte de l’épave du Titanic, 1985
Apparition du VTT, 1980
Sortie du Minitel, 1980
Sortie de Super Mario Bros, 1985
Sortie du Commodore 64, 1982
Commercialisation de la Gameboy, 1989
Début des Clips-vidéo et le mythique Thriller de Michael Jackson, 1983
Sortie du 1er téléphone mobile par Motorola, 1983
Mariage royal entre Diana Spencer et le Prince Charles, 1981
Abolition de la peine de mort par le discours de Badinter, 1981
Notre Pandémie à nous, le Sida, 1983
La chute du Mur de Berlin, 1989
Sortie du 1er Macintosh, 1984
Les voitures mythiques : Lancia Delta (1980), Ford Escort (1981), Renault 9 (1982), Audi 100 (1983), Fiat Uno (1984), Opel Kadett (1985), Peugeot 405 (1988)