Vous êtes de nature stressée, sujet à l’anxiété, aux problèmes de sommeil ou respiratoires ou alors vous avez un système immunitaire au plus bas ? Rassurez-vous, si vous décidez demain de vivre en bord de mer, votre bien-être va considérablement s’améliorer. Néanmoins, les bords de mer sont souvent synonymes de déserts médicaux ou d’accès limité à des services essentiels de consommation, de scolarité, de services publics surtout et de loisirs. Par chance, des lieux comme Marseillan, dans l’Hérault, garantissent des facilités dans tous ces domaines de par une proximité avec des grandes villes influentes, citons Bézier et Montpellier dans ce cas-là.
Le choix de la campagne reste également pertinent aujourd’hui – et même tendance – au point de voir de nombreuses personnes changer de vie. La motivation la plus forte et incontestée, c’est de mieux respirer, tout simplement. L’air est plus pur et naturel, ça se sent et ça ressent aussi. La sensation de bien-être intérieur est ainsi maximisée. La présence d’espaces verts, là encore c’est indéniable, apporte mille opportunités de balades ou de randonnées à portée de main, que ce soit à pied, en vélo, en trottinette, à cheval ou autre. Humainement, les gens prennent aussi plus de temps pour échanger, ce qui facilite des relations amicales bien souvent plus régulières, allégés des contraintes de transports qui mettent forcément de la distance entre les gens. Les enfants en bas âges se sentent plus épanouis à la campagne et peuvent jouer dehors plus facilement et sans surveillance. Côté économique, les opportunités entrepreneuriales sont nombreuses, dans le commerce ou le service à la personne. La pollution sonore est quasi inexistante si on le souhaite, en dehors du chant des oiseaux, toujours plus agréables que la TV du voisin ou un trafic ininterrompu en bas de chez soi. Pour peu que l’on ait soigneusement choisi sa commune, on peut dans le même temps rester proche d’une ville intermédiaire pour trouver d’autres avantages, sans les inconvénients.
Les bienfaits physiques à proximité de la mer
La présence de micro-algues dans l’eau, alliée à l’air marin qui est plus riche en oxygène et moins chargé en CO2, ne sont pas étrangers aux innombrables bienfaits que la mer peut avoir sur les êtres humains. Ce n’est pas nouveau, les micro-organismes aquatiques captent le dioxyde de carbone, l’énergie solaire et fabrique de l’oxygène sans interruption. La photosynthèse est d’ailleurs la première source d’énergie chez les micro-algues.
Les micro-algues sont utilisées aussi pour nettoyer les eaux usées et polluées, comme le prouve la société Planctonid qui en a fait son activité. Grâce à une pureté de l’air optimum, il est démontré que l’on respire mieux et que nos poumons fonctionnent au maximum de leur capacité. Il s’en suit des phénomènes logiques, telle qu’une meilleure qualité de sommeil comme en témoigne un rapport publié en Août 2015, le « Sleep, Mood and Coastal Walking ». Il y est expliqué que des marcheurs ont remarqué une amélioration significative de leur sommeil lorsqu’ils cheminaient près d’une côte.
La présence de l’eau est un élément fondamental dans les expériences positives avec la nature. Mais qu’en est-il de la mer en particulier ? Pendant des siècles, la côte – et surtout la côte méditerranéenne – a été présentée comme un moyen « d’évacuer ses soucis ». Les professeurs Michael H. Depledge et William John Bird suggèrent même qu’il existe un désir inhérent pour les individus d’être près de la côte. Les preuves des effets thérapeutiques ou bénéfiques des visites côtières se sont d’ailleurs multipliées durant ces dernières années. Le fait de vivre près de la côte est lié à une meilleure santé et à un meilleur bien-être. Les bénéfices psychologiques d’expériences à court terme, telle une promenade au bord de la mer, sont également importants.
Et du côté de la campagne ?
« La ville a une figure, la campagne a une âme ». Voilà une citation de Jacques de Lacretelle qui ouvre le débat. Après des siècles de mutation de la société, la transformation urbaine s’est densifiée au dépend des campagnes, qui elles, se sont désertifiées à vue d’œil sous le processus de l’exode rurale.
Il faut remonter en 1950 pour observer une répartition équitable entre villes et campagnes, juste avant l’effondrement économique du secteur agricole, au sortir de la Seconde Guerre Mondiale. Cette période a ainsi été favorable à l’urbanisation en masse au point qu’en vingt ans à peine, 70% de la population s’est tournée vers la ville.
L’Insee a récemment changé de méthode d’évaluation. Les chiffres de la population rurale passent ainsi de 25 % à 33 %. Ce n’est donc plus un quart, mais désormais un tiers de la population qui vit en milieu rural. Il ne s’agit pas de l’effet d’un exode urbain cette fois-ci, mais d’un changement de définition. Avant, le monde urbain était défini comme un territoire où les bâtiments étaient proches (moins de 200 m d’écart) et où ils concentrés au moins 2.000 habitants. Désormais, c’est la densité d’habitants au km² qui est prise en compte, à la place du bâti. Avec cette nouvelle méthode, on obtient 12 % de communes urbaines qui regroupent les deux tiers de la population et 88 % de communes rurales qui en rassemblent un tiers.
L’achat d’un appartement en bord de mer reste toujours un bon investissement. Cela s’est confirmé avec la crise sanitaire qui nous a révélé à tous l’importance vitale de vivre au grand air. Qu’il s’agisse d’acquérir un logement principal ou une résidence secondaire, la plus-value à la revente est assurée.
Les stations balnéaires française attirent chaque année de nombreux touristes, ce qui en fait un marché potentiel intéressant pour les propriétaires. Une résidence secondaire en bord de mer peut être mise en location saisonnière pour amortir les frais et permettre aux propriétaires d’occuper leur logement quand ils le souhaitent.
L’Hérault, un département où il fait bon vivre !
34 820 communes en France métropolitaine ont toutes été classées selon 198 critères en 2023. Ces critères sont rassemblés en 10 catégories : qualité de vie, sécurité, protection de l’environnement, santé, commerces et services, transports, éducation, sports et loisirs, solidarité, attractivité immobilière.
Sur 342 communes que compte ce département, voici le Top des villes où il fait bon vivre, dont plusieurs sont voisines de Marseillan :
- Montpellier : 1ère
- Castelnau-le-Lez se classe en : 2e
- Sète apparaît : 3e
- Agde : 8e
- Pérols : 10e
- Vendargues : 11e
- Le Crès : 14e
- Lunel : 15e
- Frontignan : 23e
- Pézenas : 35e
- Bessan : 59e
- Montblanc : 94
L’étang de Thau, Paradis du Snorkeling !
Le snorkeling est une activité de loisir aquatique d’observation des fonds et des espèces vivantes sous-marines. L’Étang de Thau est l’un des trésors cachés du snorkeling dans le sud de la France. Connue pour ses eaux salées, séparée de la mer Méditerranée par un cordon dunaire, la lagune de Thau abrite une vie sous-marine d’exception. Le spot du Ponton de la Bordelaise est l’endroit idéal pour vivre cette activité. Il situé entre Sète et Balaruc, dans une zone industrielle. Il est recommandé de vous y rendre en avril ou en mai lorsque l’eau est encore suffisamment fraîche. À partir de fin Mai, début Juin, les algues se multiplient avec la hausse des températures et la visibilité se dégrade.
Mettez-vous à l’eau au pied du phare, face au ponton. L’espèce d’hippocampe la plus abondante de l’Étang de Thau est l’hippocampe moucheté, une espèce endémique, légèrement différente de celle que l’on trouve en mer. Il mesure entre 10 et 15 cm de long. Dans tous les cas, seul ou accompagné, ne touchez pas les hippocampes. Bien qu’ils soient peu farouches et qu’ils se laissent facilement approcher de très près, ils sont fragiles.
* Source : Fondation Octopus
Pour 81% des Français, vivre à la campagne représente la vie idéale !
C’est ce que révélait une enquête Ifop pour familles rurales. 19% des personnes interrogées seulement opteraient de préférence pour une vie urbaine. 81%, c’est l’équivalent de 8 français sur 10, ce n’est pas rien. Entre rêve et réalité, il y a un pas, mais pourquoi pas ?
La qualité de vie, le calme, le moindre coût de la vie et vivre dans un environnement moins pollué sont les principaux atouts que retiennent ces ruraux et néo-ruraux. D’ailleurs, 62% des habitants de ces cadres de vie partagent ce sentiment de bien-être. En revanche, pour l’aspect social-économique, il en va tout autrement. 46% des sondés trouvent le milieu rural encore non adapté à une vie professionnelle dynamique en dehors de l’agriculture et l’élevage bien sûr.
La pauvreté, le chômage et même le sentiment d’abandon de nos campagnes est également une réalité, un sentiment partagé par 51% des ruraux qui restent lucides sur ce sujet. Paradoxalement, 93% d’entre eux se disent satisfaits de vivre dans un monde rural et 53% très satisfaits même.
L’avantage d’habiter à la campagne, c’est aussi de pouvoir avoir une vie après le travail. Quatre français sur cinq estiment que la campagne, c’est l’idéal pour profiter de la vie, malgré l’éloignement et le manque ou l’absence de services. C’est en tous les cas ce qu’il ressort d’une enquête menée par Familles rurales, un mouvement associatif qui regroupe 2000 associations. Bien souvent usés ou écœurés par le rythme des grandes villes, beaucoup d’entre eux passent d’un 35 m2 en ville à un 300 m2 à la campagne, sans voisin et avec une vue à perte de vue.
Certes, les services publics font défaut, les allers-retours à l’école pour les enfants sont à la fois du temps et représentent un budget et pour le shopping, on oublie. Néanmoins, une fois chez nous, on est bien, heureux, profitant d’une qualité de vie bénéfique pour le bien-être de toute la famille. Le Top est d’habiter en zone rurale non loin d’une ville influente, ainsi, on a les avantages de l’un et de l’autre sans leurs inconvénients. Habiter à Marseillan par exemple, c’est n’être qu’à 1h de Montpellier, à 37 minutes de Béziers ou 13 minutes d’Agde, une ville moyenne de plus de 30.000 habitants.
20% des télétravailleurs franciliens envisagent de quitter l’île-de-France
La Bretagne, les Pays de la Loire, la Nouvelle-Aquitaine, l’Occitanie, et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur font partie des destinations favorites. Il est vrai que le télétravail est à l’origine de cette envie de partir des grandes villes. Le besoin de nature, l’envie d’avoir un jardin ou d’acquérir un logement plus grand avec une vue plus agréables sont les principales motivations.
Selon cette enquête menée par le Forum Vies Mobiles, 66% des télétravailleurs franciliens souhaitent aussi déménager dans le Sud de la France, idéalement dans des villes moyennes (40%), mais aussi dans les petites villes ou villages en périphérie d’une grande ville (32%).
Le complexe immobilier Port-Marseillan pourrait être une belle destination pour investir dans le sud de la France. Propulsé par Propriétés & Co, cet ensemble immobilier surplombe l’étang de Thau sur le plus beau balcon de Marseillan. Ce petit Paradis est l’œuvre de Miguel Espada, Marseillan, Fondateur de Propriétés & Co et enfant du pays.